vendredi 26 avril 2019

un seul sourire sèche mille larmes et peut allumer mille sourires


Chers-ères cœur-répondants-es,

Comme vous, je déborde de larmes devant tous ces désastres «prévisibles - programmés», effets papillon inexorables de la transgression des données  biotiques ou de la sauvage folie de la guerre, autant que devant les catastrophes dites naturelles ou celles moins prévisibles qui nous rappellent que le risque zéro n’existe pas.
 Tout comme vous,  j’ai été ébranlée devant les images de la flèche de Notre Dame de Paris se fracassant dans la furie du feu…
Et si l’élan de générosité pour la reconstruire ne pouvait que satisfaire mon attachement à ce symbole du génie bâtisseur et de la ferveur spirituelle, il soulignait aussi l’ampleur de la coupable passivité des grands groupes financiers qui préfèrent fermer les yeux et garder les bras croisés face à la cassure sociale et au terrible gâchis humain dont ils sont les principaux facteurs.  

Pleurer de tristesse et de dégoût n’est pas honteux, surtout quand notre réaction émotionnelle témoigne de notre rejet du «toujours plus» de superflu alors que le minimum vital reste inaccessible à de plus en plus de nos compatriotes. 
Comment ne pas suffoquer (sentir sa respiration se bloquer) devant la violence croissante qui ne cesse de bâtir des murs et creuser des tranchées pour légitimer un «chacun pour soi» alors qu’il y a urgence à réparer, à sauvegarder le bien commun.
La solution durable à la paupérisation comme à la dégradation de l'environnement sera globale et nous voyons bien qu'elle ne sera pas établie par des institutions Nationales, ni même Européennes ou Internationales, engluées dans la logique comptable de la mondialisation économique. 
Tout comme la paix,  elle s'imposera de façon unilatérale, inconditionnelle par un élan du coeur. 
Suivez le lien ci-dessous et vous comprendrez pourquoi j’ai été touchée par cette «larme verte» que de jeunes lycéennes peignent sur leur visage pour dire qu’il est toujours temps de faire «notre part de colibri».

C’est notre devoir de ne pas rester dans le chagrin car tant qu’il y a de la vie, il faut combattre le désespoir.
Cela commence par reconnaître notre puissance intérieure et utiliser notre libre-arbitre pour créer un quotidien plus souriant …
Laissons nos sourires remercier pour notre espérance et notre résilience et même pour ces larmes qui disent notre refus de l’indifférence et du cynisme.
Une des grandes leçons du Kaizen souligne que le plus humble maillon d’une chaîne est aussi indispensable que le plus grand.
Et croyez-moi, un seul sourire peut sécher mille larmes et allumer mille sourires…
  
   
En cette fin avril, il suffit d’ouvrir les yeux pour capter tous les sourires colorés de Mère Nature, comme le sourire jaune de l’hélianthème rampant et celui mauve du polygala de Nice croisés sur les sols pierreux et arides du massif de l’Etoile. 



    « le succès, c’est tomber 7 fois et se relever 8 »
Il n’est pas trop tard pour mettre votre énergie au diapason du renouveau printanier avec une bonne cure de JUS DE BOULEAU.
C’est LA CURE DETOX par excellence, la cure dépurative la plus complète (des voies urinaires = reins-vessie, des voies digestives = foie- rate- intestins, du sang et de la peau), de plus très économique et facile à pratiquer, idéalement durant 3 semaines  et au minimum 2 semaines-
et à faire AVANT la cure de SEVE DE BOULEAU drainante et surtout reminéralisante.
L’accent par les médias mis sur la sève de bouleau semble cacher qu’avec notre mode d’alimentation plutôt pléthorique, nous avons davantage besoin de soutenir notre fonction éliminatoire, ne serait-ce pour mieux assimiler les minéraux  -naturellement fournis par les céréales complètes, les oléagineux par exemple - dont notre défaut de mastication ou notre métabolisme digestif ralenti ne permettent pas l’absorption optimale. 
Un petit conseil de consommactrice avertie : oublier le réflexe de penser/ croire que le plus cher, le plus rare est forcément le meilleur.
  
Le mois de mai se rapproche
alors je vous souhaite beaucoup de bonheur
De tout coeur
Aline


        [          Infos pratiques            [


Quel bonheur de vous signaler le dernier opus de Philippe FORCIOLI "Chansons déshabillées" hommage à Georges Brassens 

 le samedi 18 mai 2019  
Domaine de Curebourse – Camping Nostradamus 13300 Salon en Provence
à 19h – concert 12 €
 Repas chaud organisé. Concert + repas : 26 € 
Rens.Réserv : Coline Rigole : 06 99 36 46 20

le dimanche 19 mai 2019
Mas Bel Air 30800 Saint Gilles
à 18h –  concert 13 € –
Rens.Réserv : 06 16 74 55 88 

Pour ceux qui le désirent, amener victuailles et boissons pour un repas à partager après le concert.

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